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    Beuvry Gorre par les chantiers.

    Ce dimanche 21 février, par une matinée venteuse, 17 randonneurs Noyellois et "Isis" le chien se sont retrouvé au rendez-vous sur le parking de l'Ecole "La Fontaine" dans le quartier de Gorre, de Beuvry les Béthune. C'était notre ami Bernard qui fut notre guide pour l'occasion, un petit geste de bienvenue avant le départ! une tasse de soupe au cresson.

    Beuvry Gorre par les chantiers.

    Direction l'Eglise de Gorre, non loin de là, puis nous rejoignons le chemin de halage  par la rue verte. Après avoir longé le canal d'Aire sur 1 à deux kilomètres, dépassant l'embranchement du canal qui mène au port de plaisance de Beuvry, et aussi les anciens chantiers de réparation avec ses cales sèches pour la plupart abandonnées.  Le groupe quitte le chemin pour les marais, par la rue(si l'on peu dire) Malvaux je suppose que "Malvaux" doit signifié mauvaise voie,  à la vue des ornières et du mauvais état du chemin.

    Beuvry Gorre par les chantiers.

    La balade se poursuit en sous bois au milieu des marais, roseaux et saules têtard sont légion, la terre noire des quelques parcelles de terrain cultivable est propice aux cultures maraichères.

    Beuvry Gorre par les chantiers.

    Sur les bas côtés , déjà les perces neige tapissent le sol ainsi que les jonquilles dont les bourgeons sont prêt à éclore. Les arbres eux aussi se couvrent de fleurs et de bourgeons.

    Beuvry Gorre par les chantiers.

    Retour vers l'Eglise de Gorre dont au loin se profile le clocher reconnaissable. Revenu sur le parking du départ, une dernière tasse de soupe au cresson, et quelques blagues avant de se dire : A bientôt! une bonne matinée bien aérée pour les Randonneurs Noyellois.

    Beuvry Gorre par les chantiers.

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    Le saviez-vous ? De nombreuses femmes guéries du cancer, suivent à la ménopause, un traitement d’hormonothérapie durant plusieurs années – généralement cinq – afin de réduire les risques de récidive. Ce traitement n’est pas toujours évident à suivre en raison de l’apparition d’effets secondaires parfois lourds et notamment des douleurs articulaires sévères, survenant chez près de la moitié des femmes traitées. Un essai clinique, mené à l’Université de Yale (Connecticut) a comparé l’efficacité de l’approche médicamenteuse pour gérer les douleurs à celle d’un programme basé sur la pratique relativement intense de la randonnée. Pendant un an, la moitié des patientes a été suivie selon le protocole habituel, tandis que l’autre moitié a suivi un programme de 2h30 de pratique hebdomadaire encadrée, ainsi que deux séances de renforcement musculaire. Le résultat est significatif : après un an, les douleurs déclarées par les patientes ont été in fine moins intenses dans le groupe ayant pratiqué une activité physique (- 29 %) que dans le groupe ayant suivi la médicalisation classique (+ 3 %).

     

    Ainsi, la pratique d’une activité comme la randonnée aurait le double bénéfice d’améliorer la qualité de vie de la patiente et de faciliter son adhésion au traitement, réduisant par là-même les risques de récidive.

     

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