• Et le mauvais temps revient.

    Et le mauvais temps revient.

    Les ponchos ressortent du sac.

    Ce jeudi 28 février le temps change, les nuages sont bas, mais les douze marcheurs de Bully présent  par tout de même vers le parking du stade de Sains en Gohelle, en espérant que çà dure comme disait, Maria Lætizia Bonaparte-Ramolino. Et le groupe après s'être équipe 'chaussures et et K-Way ou poncho dans le sac,part du stade vers le cimetière de Sains en Gohelle, en empruntant la rue d' Artois , ayant traversé l'espace vert et le terrain stabilisé qui se trouve sur la droite du parking du stade?, et nous continuons sur le Boulevard du Général Castelneau, héro de Verdun, Pendant la Deuxième Guerre mondiale, opposé au maréchal Pétain et au régime de Vichy, il soutient la Résistance. Longtemps controversé en raison d'un catholicisme jugé outrancier par ses adversaires, les historiens2 modèrent très sensiblement ce portrait en soulignant sa très grand loyauté aux institutions républicaines, contestant notamment qu'il ait pu être réactionnaire. En juin 1940, dès l’annonce de l’armistice, il prend ses distances avec tous ceux qui rallient le maréchal Pétain et le régime de Vichy. Il démissionne de son poste de président de la FNC et se montre très critique vis à vis de la hiérarchie catholique trop proche de Pétain selon son opinion.  Il encourage ses deux petits fils en âge de combattre, Urbain de la Croix et Gérald de Castelnau, à rejoindre la France Libre. Le premier est tué le 31 mars 1945 lors du franchissement du Rhin, le second est grièvement blessé le 16 octobre 1944 pendant la Campagne de France. Bien que très âgé, il soutient activement la résistance et n'hésite pas à cacher des armes pour le réseau de l'Armé secrète (AS) du colonel Pélissier.

    Et le mauvais temps revient.

    Le Rond-Point en direction d'Hersin, joliment décoré.

    Puis nous arrivons sur le Rond point qui mène a Hersin, et nous nous dirigeons vers la gauche, la rue de la Claire Fontaine, qui nous amène devant le cimetière, et qui se termine par un sentier, puis le passage sous l'ancienne voie ferrée qui menait à Hersin, a partir de là le temps menace déjà, les ponchos sont déployés. Et nous arrivons en bordure de la D301 qui part vers Bruay, nous longeons la rocade sur le chemin qui nous dirige vers Hersin, par le chemin de Boyeffles,  arrivé Rue de la gare, nous bifurquons à droite vers le "City Park" de la rue Lamendin et nous le traversons pour arrivé sur le site du terril de la fosse 4, dominé par un vieux château d'eau.

    Et le mauvais temps revient.

    Le vieux château d'eau domine le site.

    Là nous prenons le cavalier qui serpente dans le bois sur notre gauche pour revenir sur la rue Lamendin que nous traversons pour suivre le cavalier qui bientôt passe derrière l'ancienne Gare et rejoint les vestiges des voies "Bully-Brias", encore présente sur cette friche, envahie de broussailles et d'arbres.

    Et le mauvais temps revient.

    Les vielles voies envahies de broussailles.

    Continuant notre chemin nous passons au dessus de la rue Jean Jaurès, sur le pont du chemin de fer pour rejoindre plus loin la rue Paul Doumer, une petite pause pour nous regrouper et nous quittons le cavalier bien agréable avec ses arbustes qui débutent leurs floraisons et partons sur la gauche sur la rue Paul Doumer.

    Et le mauvais temps revient.

    Passage au dessus de la rue Jean Jaurès.

    Plus loin nous arrivons sur la rue d'Houdain en bordure a nouveau de la D301 et partant a gauche nous franchissons le passage souterrain sur notre droite, pour retrouver un chemin herbeux, la pluie commence parfois à tomber en courtes averses. Un peu plus loin un autre chemin herbeux sur notre gauche  se présente et nous nous y engageons, pour arriver sur la rue Raoul Briquet, que nous traversons pour nous diriger sur le Chemin Marteau.

    Et le mauvais temps revient.

    Corons rénovés sur la rue Paul Doumer.

    Nous nous mettons a l'abri un peu plus haut sur le chemin, pour notre pause "Clémentine" dans le bois voisin résonne le bruit d'un pic épeiche. Nous reprenons notre progressions longeant les arrières des jardin de la rue Emile Zola que nous rejoignons bientôt en empruntant un petit raidillon , là nous partons sur la gauche et à la hauteur de la rue D'Arras, nous traversons  a droite pour monter cette petite rue qui monte vers les Etangs de la Claire Fontaine, et la rue du même nom, peu de pêcheurs sur les étangs! un coup d'oeil sur le château d'eau au pied duquel nous passons et nous partons vers le Boulevard de la cité 10, ( la fosse 10 n'avais pas de fonctions d'exploitation ce n'était qu'un puits d'aérage,Le puits no 10 atteint au 31 décembre 1913, la profondeur de 723,50 mètres,la fosse no 10 fut équipée d'un chevalement « cocotte ». Elle a été construite au milieu d'une pâture uniquement dans le but d'assurer l'aérage de la fosse no 4 - 4 bis sise dans la même commune; elle fut comblé en 1962) après avoir traversé la rue d'Arras. Au bout d'une centaine de mètres avant le terrain de pétanque, nous partons sur la droite un petit cavalier s'offre a notre cheminement, il surplombe vite les champs sur notre droite et les maisons des corons sur notre gauche. Nous arrivons au bout en haut d'un escalier de bois, légèrement glissant suis le bruine, et nous descendons avec prudence, pour arriver Place des oiseaux, nous nous dirigeons vers la rue des colibris qui nous amène vers Bouvigny, par la rue Duquesnoy et l'IME, pour revenir sur la rue de Lucheux, ou nous partons sur la gauche, ou aprés un virage nous traversons encore une fois prudemment, pour passer un fois de plus sous la D301 pour arriver Rue du Prince, ou nous tournons a gauche juste après l'ancien passage a niveau, nous revenons vers le Boulevard du général Castelneau par la rue des Camayeux, et revenons au parking du Stade par le Boulevard de la Liberté et la rue de Champagne.

    Et le mauvais temps revient.

    Un petit peu de couleurs sur cette page en passant par la rue du Prince, par cette grise journée pluvieuse.

     

     

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